Poilus
Éditions Thierry Magnier, 2018
Cent ans après la fin de cette Grande Guerre, il est encore terrifiant de se replonger dans les souffrances des soldats et de voir les animaux à leur tour entraînés dans cette folie suicidaire. Pour écrire La guerre de Gaspard – dont le héros est un rat -, je me suis appuyée sur mes recherches historiques et sur le journal de « Poilu » de mon grand-oncle André qui fut blessé près de Verdun.
Sauve qui peut les vacances
Éditions Thierry Magnier, 2013
Des départs calamiteux, des arrivées pires encore, des volcans en furie et des avions cloués au sol, des cas de varicelle en territoire autrichien… Ma catastrophe à moi, celle qui fait regretter d’être en vacances, s’appelle Shirley et ressemble comme deux gouttes d’eau à une de mes correspondantes d’adolescence. Dear Shirley…
Comme chien et chat
Éditions Thierry Magnier, 2011
Les frères et sœurs, c’est une histoire à la vie, à la mort, qu’on s’aime ou pas. Moi, mes parents m’ont donné un frère et la vie m’a donné des sœurs. Ce sont leurs portraits que je dresse dans La gloire de mes soeurs.
Nouvelles re-vertes
Préface de Denis Cheyssou, éditions Thierry Magnier, 2008
Sélectionné par l’Éducation nationale dans le cadre du projet « lectures pour les collégiens ».
Trois ans après les Nouvelles vertes, re-belote, on remet ça. Mais en trois ans, les esprits ont déjà changé. Et de la prise de conscience, on commence à réfléchir aux solutions. J’en profite pour faire de la pub dans La fin de la faim à un procédé d’agradation (l’inverse de la dégradation) des sols grâce à une couche de petits copeaux de bois frais. En dix ans, le Bois raméal fragmenté ou BRF a conquis de très nombreux jardiniers et beaucoup de villes pour les plates-bandes municipales et c’est tant mieux !
Nouvelles vertes
Préface de Hubert Reeves, éditions Thierry Magnier, 2005.
« Choisis un thème sur l’environnement qui te tient particulièrement à cœur » me dit-on chez Thierry Magnier en me proposant d’écrire une nouvelle dans ce recueil. C’est vite vu : mon ennemi personnel, c’est le sac plastique, dit sac de caisse, poche ou pochon. Chaque seconde près de 16 000 de ces cochonneries sont distribuées dans le monde, soit 500 milliards chaque année et en 2050 il y aura plus de plastique que de poissons dans les océans. Je crie ma hargne anti-plastoc dans Noir destin pour plastique blanc.